Pour vous aider à bien comprendre le fonctionnement général, reportez-vous au schéma synoptique figure 4.
Le capteur de tempèrature délivre une tension Ut, qui augmente proportionnellement à la tempèrature ambiante. Cette. tension est amplifiée par A1, qui porte sa valeur à 0,1 V par degré. La tension obtenue est appliquée sur l'une des entrées du oomparateur COMP, son autre entrée recevant la tension Uc, qui représente la consigne de tempèrature. Lorsque Ut, image de la tempèrature ambiante, devient supérieure à la consigne Uc, la sortie du comparateur bascule, provoquant l'arrêt de la soufflerie. Nous sommes alors au point de basculement haut. La tempèrature va ensuite décroitre jusqu'au moment où Ut sera inférieure à Uc , le comparateur basculant de nouveau et actionnant la soufflerie. Nous sommes alors au point de basculement bas. La tempèrature va remonter, etc. (fig. 3). Le cycle se poursuit indéfiniment, maintenant la tempèrature à la valeur souhaitée. Il est intéressant de donner quelques informations sur la precision de cette régulation. Il est possible de réguler au dixiéme de degrés près. Dans ce cas, la soufflerie fonctionnera de façon très brève, mais à intervales très rapprochés. Dans les cas extrêmes, le relais la commandant sera sollicité plusieurs dizaines de fois par minute. Ceci n'est satisfaisant ni pour I'oreille ni pour la durée de vie du relais... Il est donc nécessaire de créer un hystérésis, c'est-à-dire un écart entre les points de basculement haut et bas du oomparateur. Dans notre réalisation, les choix opérés assurent une précision.de la régulation de l'ordre d'un degré, ce qui semble être un bon compromis entre confort et fiabilité Vous pouvez constater qu'un aiguillage autorise l'utilisation de deux valeurs de consigne. Cet aiguillage est commandé par la présence (ou l`absence) du 220 V heures creuses alimentant l'accumulateur. Après ce survol du pnincipe de fonctionnement. il ne reste plus qu'a analyser les détails du schéma de principe pour tout connaître de ce thermostat.
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